Actualités

30 janvier 2025

L’interview collaborateur de la semaine

Olivier Vincent est outilleur chez VOTAT : il doit en permanence s’assurer que les outils de l’atelier sont fonctionnels. Il les affûte, il les nettoie, il les répare… parfois il les conçoit ! Olivier est l’un des plus anciens coéquipiers de l’entreprise : il est arrivé en 1984… il y a 41 ans !

Bonjour Olivier, avez-vous occupé d’autres postes que celui-ci chez Votat ?
OV : Oui, en intérim. C’était avant de faire mon armée. Quand j’ai eu fini mon service militaire, c’est le premier poste auquel j’ai postulé… et j’ai été recruté.

Avez-vous beaucoup évolué au sein de l’entreprise ?

OV : Au début, j’étais manutentionnaire, je mettais des tôles cisaillées sur palette. Ensuite, j’ai été posté sur différentes presses. Puis j’ai monté des outils sur des lignes automatiques. Puis j’ai été assistant qualité. Et lorsque la qualité (ISO 9001) a été mise en place, je suis arrivé à l’outillage, le poste que j’occupe actuellement.

En quoi consiste le poste d’outilleur ?
OV : Je répare, j’entretiens, j’améliore les outils et les machines. Comme je suis d’un tempérament calme et patient, les collègues peuvent m’embêter 10 fois pour la même chose dans la même journée, je serai à chaque fois disponible. Il faut toujours écouter les opérateurs. Quand ils insistent, c’est forcément qu’il y a un problème, que j’essaierai de résoudre.

Quels sont les avantages du travail chez Votat ?
OV : Je suis heureux d’avoir pu évoluer et faire des tâches diversifiées dans un poste pas très loin de chez moi ! La résolution des problèmes mécaniques, c’est chaque jour différent. Il y a aussi une bonne ambiance, ici. On peut faire son travail sérieusement sans se prendre au sérieux.

Comment voyez-vous l’avenir au sein de l’entreprise ?
OV : Je suis en train de former une personne pour me remplacer, parce que je suis bientôt à la retraite : en janvier 2026 ! C’est important de transmettre ses connaissances, car les outils ont beaucoup évolué. Il y a moins de casse aujourd’hui qu’avant.

Normalement, avec ces nouveaux outils et une année entière d’accompagnement, mon successeur devrait avoir moins de problèmes que je n’en ai rencontrés. Il a l’esprit mécanique, donc il a de bonnes bases.